Femmes, se libérer du mâle.


Hommages.


Toutes des Linguères.

Mères, elles comblent de bonheur leurs enfants !

Épouses, elles assurent !

Au travail, elles n'hésitent pas à damer le pion aux hommes, notamment dans la gestion !

Elles, ce sont les braves femmes qui sont célébrées, ce 8 mars, par toute la communauté internationale.


Sentiments de mère, un grand mot ! Être mère n'est pas seulement donner la vie, c'est aussi éduquer, chérir, aimer. À une femme exceptionnelle, à ma mère. Hommage aux mamans de cœur qui ont des enfants sans leur donner la vie et aux mamans qui donnent la vie sans avoir leurs enfants.

Une mère, poids d'être une femme au foyer. La nouvelle phase que chaque femme doit traverser est parfois très dure. Mais les femmes sont toujours géniales, s'en sortent toujours parfaitement. Pas seulement une femme au foyer, mais toutes les mères qui se battent pour leurs enfants, pour leur familles et toutes les femmes qui traversent de nouvelles phases de la vie sont géniales !

À vous toutes mesdames, ne vous laissez jamais abattre parce que vous êtes toutes super !

Plus important encore, ne gardez pas tout pour vous. Parfois, essayez de dire aux gens en qui vous avez confiance ce que vous ressentez, afin de vous sentir mieux.

La fatigue, la douleur, l'épuisement, l'énervement, la solitude, le surmenage mais aussi l'amour fou et inconditionnel. Rien de tout ce que les mères vivent et font n'est normal sous prétexte qu'elles le font depuis la nuit des temps.

À toutes celles qui portent, celles qui désirent, celles qui adoptent, toutes celles qui sont mères d'une façon ou d'une autre.

À celles qui ont porté, enfanté, crié, celles qui se lèvent nuit et jour, celles qui pleurent, celles qui ont peur, celles qui aiment inconditionnellement, celles avec qui vous pourrez toujours partager ce poids de la responsabilité, de la parentalité.

À celles qui vont le devenir, à celles qui ont frôlé ce bonheur, à celles qui se battent pour l'être, à celles dont les enfants ont rejoint les étoiles, à celles qui rêvent d'un arc-en-ciel, à celles qui sont solos, à celles qui sont parties trop tôt, à celles qui doutent, à celles qui burn-out, aux imparfaites, à celles qui sont mères au foyer, à celles qui ont leur carrière à gérer, à celles qui craquent, à celles qui allaitent, à celles qui biberonnent, à celles qui crient parfois, à celles qui donnent toujours... vous êtes toutes uniques et merveilleuses, chacune à votre façon.


Femme : Mariage et maternité, des siamois inséparables.

Le mariage et la maternité sont des choix parfaitement légitimes et joyeux dans la vie d'une femme, mais la fétichisation de la conjugalité et de la maternité empêche les femmes de déterminer leur personnalité en dehors de ces institutions, et dans les sociétés africaines, ces représentations sexuées maintiennent l'héritage du patriarcat, car les femmes restent occupées par la vie de famille tout en les hommes sont responsables de la vie publique. Ils n'affectent pas seulement les femmes, ils affectent également les hommes qui développent des handicaps psychologiques envers les femmes qui peuvent avoir d'autres aspirations que le mariage et la maternité.


Dépeinte comme étant désespérée : pleurant, criant, pleurant. La femme peut être une politicienne, une policière ou peut-être engagée dans l'armée, une boulangère ou une artiste, mais les représentations d'elle font toujours allusion à quelqu'un qui a lutté, survécu ou vient d'une lignée de femmes qui ont lutté, survécu et seulement alors sont autonomes. Une femme africaine n'est presque jamais qu'une femme, celle qui est représentée en train de faire des choses banales : boire une tasse de thé vert, bricoler, se détendre et surtout aimer et être aimée.


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